vendredi 21 novembre 2008

Un pas en avant

C'était il y a 4 mois et je jouais gros, presque sur un coup de tête, une ruade dans les brancards, encore une fois dans l'opposition frontale.
Il m'avait dit, poussé à bout, par moi qui l'exigeait, dans ses derniers retranchements: "- garde ton concours, tu l'as réussi, le public c'est plus facile d'en sortir que d'y entrer, tu verras bien dans 5ans".
Cela avait suffi à mettre fin à mes hésitations. Non. J'allais prendre le risque. De me reconvertir, de me réorienter, si jamais le pire arrivait en octobre.

Le pire étant arrivé, et l'euphorie estivale étant passée, il fallait définitivement transformer ce risque, et trouver ce fameux contrat. C'est à ce moment seulement que l'ampleur de l'angoisse m'a prise à la gorge. Et si je ne trouvais rien? Et si j'avais décidé une grosse connerie en juillet? Et si vraiment je n'y arrivais pas non plus, dans le privé?

Le premier entretien à été le bon, j'ai décroché le poste que je visais, j'ai gagné mon pari de juillet! Il faut le dire ici, parce que ce sera beaucoup ça aussi, la reconstruction...

3 commentaires:

Anonyme a dit…

et bien bravo alors!

22 a dit…

C'est bien, ce signe là que tu vaux quelque-chose. Pas à pas, tu vas y arriver.

Anonyme a dit…

bien mais alors que fais-tu ?